« Oui » est magique. Cela apporte des possibilités et un mouvement vers l’avant.
Mais sans « non », c’est presque impossible et le non peut être tout aussi effrayant.
D’abord, il y a le non : « Je ne peux pas accepter ça ». Le non de refuser de courir vers le bas, le non d’éviter la frénésie égoïste, le non de s’éloigner des instincts ou des raccourcis qui privent les autres de dignité et de possibilités. C’est le non qui crée nos normes.
Et puis il y a le non du « Je dois être un spécifique significatif, pas une généralité errante ». Ce que Zig voulait dire par cette phrase, c’est que le courage de la concentration et de la spécialisation est utile lorsque nous nous efforçons et faisons quelque chose qui compte au lieu de simplement plaire à celui qui est assis juste en face de nous en ce moment.
Lorsque nous offrons un « non » généreux à quelqu’un qui nous tient à cœur, nous honorons notre travail et le rôle qu’il y joue. Nous nous soucions suffisamment de leur offrir un aperçu du changement que nous cherchons à apporter et de leur dire la vérité sur ce que nous ne pouvons pas faire tout en célébrant ce que nous pouvons faire.
Pour arriver à rien, vous devez vous soucier suffisamment de faire la différence et être assez courageux pour dire la vérité.