Le New York Times récemment peinture le secteur immobilier car il encourage des pratiques commerciales dangereuses dans la poursuite d’une transaction tout en offrant peu de protection en matière de sécurité et de conseils aux agents et aux courtiers. Si vous avez déjà entendu parler du Mois de la sécurité des agents immobiliers, qui a lieu chaque mois de septembre, vous savez que ce n’est pas vrai.
L’histoire est centrée sur une agente immobilière de San Diego qui a été agressée sexuellement lors d’une consultation d’inscription au domicile d’un client potentiel, la première fois qu’elle a rencontré le vendeur.
« La grande majorité des agents immobiliers sont des femmes et sont vulnérables aux abus dans un secteur qui offre peu de protections, les oblige à rencontrer les clients seuls dans des maisons vides et les encourage à utiliser leur apparence pour attirer les acheteurs », peut-on lire dans l’article. loi.
En tant qu’éducateur qui enseigne la sécurité immobilière depuis près de 30 ans, j’ai été interviewé par Fois pour l’article. Mais je me suis retrouvé dans la salle de montage. Je suppose que mon message, selon lequel le secteur immobilier prend la sécurité au sérieux et développe chaque jour la sensibilisation et la formation, ne correspondait pas au récit de l’écrivain.
Lisez le contenu de Tracey Hawkins sur la sécurité dans REALTOR® Magazine.
Le moment de la publication de l’article était un peu une coïncidence, puisqu’il est arrivé un peu plus d’une semaine avant que REALTOR® Magazine lance son nouveau balado, Drive With NAR: The Safety Series. (Écoutez le premier épisode : « À quoi devrait ressembler la sécurité au travail dans l’immobilier ? ») Je suis l’hôte de ce podcast, le premier du secteur immobilier à se concentrer entièrement sur la sécurité. Il s’agit d’un autre outil que la National Association of REALTORS® propose à ses membres, en plus des vidéos de formation, des ressources de protection personnelle et des plans de sécurité des entreprises par le biais du programme de sécurité REALTOR®.
Il semble donc y avoir un manque d’opportunités pour les professionnels de l’immobilier pour améliorer leur sécurité ? Voici ce qu’il y a d’autre Fois l’article comprend mal ou ne reconnaît pas la sécurité dans la profession immobilière.
- Hommes contre femmes. En soulignant que 66 % des membres du NAR sont des femmes et en mettant l’accent sur les dangers auxquels les femmes sont confrontées sur le terrain, l’omission des officiers masculins dans l’article contribue à alimenter la perception erronée selon laquelle les hommes ne sont pas vulnérables. Mais 14 % des policiers masculins déclarent avoir eu une rencontre en service qui leur a fait craindre pour leur sécurité, selon le rapport sur la sécurité des membres du NAR. Les pratiques commerciales sûres sont tout aussi importantes pour les hommes que pour les femmes.
- Sécurité du courtage. LE Fois L’article souligne le manque de politiques de sécurité et de formation dans de nombreuses maisons de courtage immobilière, ce qui constitue une critique valable. Mais avec un peu plus de la moitié (51 %) des agents immobiliers déclarant que leur maison de courtage a mis en place un plan de sécurité, selon le rapport du NAR, l’image de l’immobilier comme étant le « Far West » est exagérée. LE Fois cela suggère également des solutions étranges, comme demander aux agents de demander à leurs courtiers de fournir un chaperon aux visites. Je recommande d’investir dans une formation proactive en matière de sécurité.
- Concentrez-vous sur l’apparence. L’article établit un lien entre l’attractivité sur les photos et le fait d’être une victime potentielle, affirmant que le secteur immobilier encourage les agents à exploiter leur apparence pour attirer les acheteurs. L’apparence physique pourrait être un facteur de motivation pour un criminel. Il est cependant beaucoup plus probable qu’un criminel cible une victime qui se trouve dans une position vulnérable, comme travailler seule dans une journée portes ouvertes, et qui est facile à exploiter.
Conclusion : une meilleure formation est la solution
Le défenseur de la sécurité immobilière, Carl Carter Jr., souligne la nécessité pour les courtiers de dispenser une formation en sécurité. Pour remédier au manque de sensibilisation à la sécurité, les orientations des nouveaux agents devraient inclure une formation en matière de sécurité. Une formation dispensée par des experts et axée sur le développement des activités grâce à la sécurité peut être un moyen simple d’impliquer les agents.
LE Fois répond à la nécessité d’une plus grande sensibilisation et d’une meilleure protection contre le harcèlement sexuel, les agressions et autres délits dans le secteur immobilier. Je soutiens la formation en sécurité psychologique, qui vise à créer une culture dans laquelle les agents peuvent signaler les crimes sans crainte de représailles, de représailles ou de punition.
L’article cite des responsables qui affirment que la participation de l’industrie est essentielle pour améliorer la sécurité. Je suis d’accord, mais cela nécessite un changement culturel. Une formation à la sécurité innovante et pratique doit être attendue dans le cadre des activités commerciales sur le marché immobilier.